Le fracas de la guerre s’est tu, mais je reste plus que jamais en alerte sur la situation dans le Haut-Karabakh, comme le Département l’a fait en aidant les victimes au plus fort du conflit. Un peu plus de 30 ans après la déclaration d’indépendance, la République d’Artsakh reste infiniment fragile. La pression sur la communauté internationale ne doit jamais cesser pour la reconnaissance de cet Etat, pour le droit à la vie, à la sécurité, à la santé, à l’éducation, au développement culturel économique et social et bien sûr à l’autodétermination de la population.